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Un ravioli ne fait pas le printemps | roman de Dominique TELLIER

un ravioli ne fait pas.gifÉd. L'École des loisir, coll. Neuf | mai 2009 | 176 pages - 9€

Embarquement immédiat pour un incroyable voyage en Chine: un tunnel creusé sous son lit suffit à Kosmo pour passer de l'autre côté du miroir… Enfin, de la planète. Enfin, un peu des deux. Ce tunnel l'amènera aussi sûrement à tomber dans les bras d'une jeune et très jolie Chinoise (Liu) et à partir en quête du secret de l'immortalité, sur les conseils avisés d'un ravioli bavard…

Ce que Kosmo découvre (et le lecteur avec lui) n'est sûrement pas la Chine réelle, contemporaine. Quoique… Dans cette Chine rêvée, passé et présent se côtoient, se confondent ou s'additionnent, de sorte que l'on cesse très vite de mettre en doute ce que l'on lit. Confucius peut venir taper la causette sur un banc public, un ravioli peut apprécier les bains de thé parfumé, se réincarner en corbeau, puis en dragon, lequel peut survoler Xi'an et ses files de touristes faisant la queue devant l'armée enterrée de soldats en terre cuite du premier empereur de Chine. Au passage, on aura appris la recette des ravioli, du riz cantonnais et des tsampa (bouillie à base de farine d'orge grillé, très roborative).

Le livre de Dominique Tellier fait fi de la rationalité et du vraisemblable occidental: Kosmo accepte presque sans sourciller que les objets lui parlent, il apprend le chinois en quelques minutes, de même que la langue des signes (ça tombe bien: Liu est sourde-muette), il ne met jamais en doute aucune apparition, ne néglige aucun conseil, même venu du Yéti (qui est en fait un ermite-peintre calligraphe, et a recueilli notre héros dans la montagne après 263 jours de jeûne). L'histoire apparaît comme une succession de tableaux et de détails pittoresques ou incongrus, ou encore de clins d'œil au lecteur, semblables à des arrêts sur image: avant de se lancer dans une partie de foot avec des lamas au Tibet, Kosmo, qui ignore tout de ce sport, «vérifie s'il avait le numéro de Zinedine Zidane. Il ne l'avait pas», la partie peut commencer. Pourtant au-delà de l'accumulation et de l'apparente incohérence, l'auteur déroule mine de rien le fil conducteur de son histoire - le secret de l'immortalité, la vie la mort l'amour et la poursuite du cycle… - et dépose ici et là quelques galets, quelques pistes de réflexion, libre au lecteur de s'en saisir. Que l'on s'intéresse ou non à la mythologie chinoise, à la religion et la géo-politique de ce grand pays, ce livre qui tient du conte, du roman d'aventures et du récit initiatique, se déguste avec bonheur.

Corinne Chiaradia (juin 2009)

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23/06/2009 | Lien permanent

Dinotopia, un voyage à Chandara | album de James GURNEY

9782215055761.jpgTraduit et adapté de l’américain par Juliette Saumande | Éd. Fleurus | oct. 2008 | 20 €

On a laissé Arthur Denison et son fils tout à la découverte de leur nouvel univers, extravagant et poétique, dans Dinotopia, l’île aux dinosaures, paru en 2000 aux éditions Albin Michel et malheureusement épuisé. On les retrouve ici, à la veille d’un grand voyage aux confins de l’île, à la découverte de la mystérieuse ville de Chandara et de son étrange empereur Kahn. Laissant son fils à ses activités de pilote de skybax (patrouille de surveillance aérienne formée par des ptéranodons), Arthur Denison entreprend ce long et périlleux voyage en compagnie de Bix, sa précieuse amie, une femelle Protoceratops. Le voyage sera d’autant plus dangereux, qu’un malotru leur a volé l’invitation de l’empereur Khan, seul sauf-conduit pour pénétrer dans Chandara.

Ce voyage est un prétexte à la description, en mots et en images, de ce monde merveilleux inventé par James Gurney. À la manière des peintres orientalistes, ou des lithographies de David Roberts, il dessine un univers chatoyant et romantique, auquel il ajoute une part de fantastique.  Ancré dans la tradition des utopies du XIXe siècle, Dinotopia est un monde tolérant et multiracial, où les dinosaures vivent en bonne intelligence avec les humains, ces derniers se préoccupant plus des sciences et des arts, que du profit.
La forme même de l’ouvrage – un gros volume qui laisse place à de grandes illustrations très colorées, tout en proposant un long texte d’une belle facture classique – fait penser à un ouvrage ancien et précieux.
Entreprendre la lecture de Dinotopia, c’est voyager dans nos rêves en effleurant ici et là des paysages, des coutumes, des questionnements, qui sont ceux de notre monde bien réel.

Ariane Tapinos (février 2009)

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17/02/2009 | Lien permanent

MON FRÈRE EST UN CHEVAL / MON CHEVAL S'APPELLE ORAGE

cheval,mongolieRoman
d'Alex COUSSEAU
Éd. Rouergue, coll. boomerang
Janvier 2013, 22 & 22 pp. – 6 €

Côté pile, Elvis, un garçon de huit ans, doit se séparer de son cheval qui, né la même nuit que lui, est comme son frère. L’hiver très froid a décimé le troupeau de ses parents et Elvis va vendre à la ville celui qui est devenu une partie de lui-même.

Côté face, une petite fille, Sarantoya, se voit offrir un cheval pour ses huit ans. Elle l’appellera Orage. Une nuit, Orage s’enfuit, la fillette accrochée sur son dos. Au bout de trois jours d’une épuisante cavalcade, le cheval et l’enfant distinguent une silhouette au loin. C’est Elvis…

Deux très beaux textes qui peuvent se lire séparément aussi bien qu’ils se complètent.Deux portraits d’enfants esquissés dans leur relation particulière à un cheval qui n’appartient à personne… Alex Cousseau met tout son talent (et il est grand) à hauteur des plus jeunes et des amoureux des chevaux (et ils sont nombreux !) Avec, cerise sur le gâteau, des histoires qui se conjuguent au féminin et au masculin.

Une collection originale, Boomerang, qui propose des récits courts et accessibles à ceux qui lisent déjà tout seuls, qui vont par deux. Deux histoires dans un seul livre, ça fait un petit roman plus épais, comme pour des plus grands.

Ariane Tapinos (février 2013)

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08/05/2013 | Lien permanent

UN NOËL D'ENFANT AU PAYS DE GALLES

Un Noël d'enfant au Pays de Galles.jpgroman poétique
de Dylan THOMAS, illustré par Peter BAILEY
Traduit de l'anglais par Lili Sztajn
Éd. Gallimard Jeunesse, (première édition française du texte : Denoël 2005) octobre 2015, 74 pages - 13,90€

« Il y a de cela des années et des années, quand j’étais un petit garçon, quand il y avait des loups au pays de Galles, quand les oiseaux de la couleur des jupons de flanelle rouge frôlaient d’une aile vive les collines aux courbes de harpe, quand nous chantions et nous prélassions toute la nuit et le jour dans des grottes qui sentaient le dimanche après-midi dans les salons humides des fermes, et que nous chassions, avec des mâchoires de diacres, les Anglais et les ours, avant l’automobile, avant la roue, avant le cheval à tête de duchesse, quand nous montions à cru les collines heureuses, il a neigé, neigé. »

Le poète Dylan Thomas égrène des souvenirs des Noël de son enfance au pays de Galles. Du temps où la neige recouvrait les collines, du temps ou les oncles « à forte carrures » et les « tantes menues » venaient partager le repas familial. Le lecteur comme l’enfant qui l’interroge sur ces Noëls d’antan, s’émerveillera de ce qui existait alors, magnifié et transformé par le souvenir du poète et sa langue musicale. Car même si la neige tombe encore en décembre au pays de Galles, elle ne monte plus « du sol en écharpes », elle ne pousse plus « en une nuit sur les toits des maisons comme une mousse pure et bisaïeule ».

La poésie transforme le quotidien et insuffle de la magie dans nos souvenirs. Si bien qu’il n’y a nulle nostalgie dans ce voyage au pays de l’enfance mais une invitation à la rêverie. Cette lecture – qu’il faut faire à haute voix pour entendre toute la subtilité et la malice de la prose poétique de Dylan Thomas – donnera à chacun l’envie de parfumer les maisons d’écorces d’orange, d’allumer le feu dans les cheminées, de prolonger la soirée de Noël. Elle donnera aux enfants l’idée d’écouter, en douce, les adultes et d’imaginer des hippopotames, ou toutes autres créatures incongrues, marquant de leurs pas lourds la neige fraiche. 

Ce livre, avec ses phrases sinueuses et parfois interminables, comme se déroulent les souvenirs dans nos mémoires,  et ses aquarelles délicatement humoristiques, est une petite merveille qui devrait trouver sa place aux pieds des sapins, aussi bien pour les grands que pour les petits. Ou, à l’idéal, dans la chaleur d’une lecture partagée.

Ariane Tapinos (novembre 2015)

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30/11/2015 | Lien permanent

COMMENT FABRIQUER SON GRAND FRERE/ un livre d'anatomie et de bricolage

corps,fratriealbum documentaire
de Anaïs VAUGELADE
Éd. L'École des Loisirs, novembre 2016 -19,80 €.

Zuza est de retour, et elle veut un grand frère. Pas un petit frère : ça c'est facile, tout le monde sait comment on fait. Non, Zuza veut un GRAND frère, et les grands frères, et bien, il faut les fabriquer... Heureusement, Zuza sait exactement comment faire, elle a tout ce qu'il lui faut pour bricoler le grand frère idéal et, en cas de doute, le crocodile se tient prêt, son encyclopédie crocodilis à la patte. La construction peut commencer : des os jusqu'au bout des ongles, Zuza, le crocodile et leurs jouets-assistants nous entraînent dans une découverte à la fois fantaisiste et rigoureusement exacte du corps humain .

 

Le dernier album d'Anaïs Vaugelade flirte avec le documentaire et fait découvrir aux jeunes lecteurs comment se compose le corps humain : Zuza, apprentie docteur Frankenstein fabrique son grand frère avec minutie et sérieux et chaque étape de la construction est l'occasion d'une nouvelle leçon.
Un album qui fourmille d'informations et d'humour pour enfin comprendre comment fonctionnent les grands frères... et tous les autres !

Nathalie Ventax (décembre 2016)

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31/12/2016 | Lien permanent

TEDDY N'A QU'UN OEIL

Teddy.jpgRoman 
de Yann RAMBAUD
Illustré par Célia Nilès
Éd. Hachette, coll. Hachette romans, avril 2015, 196 pages – 10€

Depuis longtemps déjà, Thomas est passionné par les monstres et les couche sur son cahier, « Le terrible manuel de Monstruosités » où il leur attribue un  « coefficient de terreur ». Sa petite sœur Lucille passe elle beaucoup de temps à veiller sur Cléopâtre, la vieille chatte de la famille.

Un jour, les enfants trouvent à proximité de la maison, un étrange animal, inconnu du bestiaire de Tommy : un grand lézard de trente centimètres au moins et pourvu d’un seul œil ! Un monstre à n’en pas douter mais … pas un méchant monstre. Vite baptisé Teddy, la créature réserve à ses petits maitres une surprise de taille … Elle est chronophage, elle se nourrit du temps qui à ses côtés passe aussi vite que l’éclair !

Ce qui est bien commode quand Thomas veut accélérer le cours de maths ou que Lucile veut faire passer plus vite la consultation chez le dentiste mais Teddy n’est pas programmable et son appétit peut aussi rendre des services plus estimables. 

Avec cette histoire de gentil monstre chronophage, accessible aux jeunes lecteurs, Yann Rambaud évoque, l’air de rien, des questions bien importantes telles que celles de vouloir choisir sa mort et des relations qui unissent les générations.

Car à côté de chez Thomas et Lucille se dresse une maison de retraite dont les pensionnaires ont beaucoup à apprendre à nos deux jeunes héros et peut être à mettre en appétit Teddy…

Une histoire à la fois drôle et touchante et qui n’oublie pas de faire réfléchir.

Ariane Tapinos (juin 2015)

 

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14/06/2015 | Lien permanent

ELVIS ET L’HOMME AU MANTEAU ROUGE. Un conte de Noël

Elvis.jpgalbum
de Ole KÖNNECKE

Traduit de l’allemand par Bernard Friot
Éd. De La Martinière jeunesse, novembre 2017 - 12,50€

C’est le 24 décembre, la neige tombe à gros flocons et Elvis s’agite pour les derniers préparatifs pendant que vieux grand-père lit le journal. Alors qu’Elvis vient tout juste de brancher le super sapin de noël électrique qui chante avec la voix de Chuck Berry, un vieil homme affublé d’une longue barbe blanche et vêtu d’un tout aussi long manteau rouge se présente à la porte. Il explique qu’il est à la recherche d’un garage après avoir eu un accident alors qu’il se rendait au travail. Elvis, qui, ça tombe bien tient un garage, lui répond que non seulement celui-ci est fermé en ce jour particulier mais qu’une panne d’électricité s’est déclenchée quelques minutes plutôt. Il s’avère que c’est le traineau de l’homme au manteau rouge qui est responsable de la panne.
Assurer la réparation s’annonce compliqué et va nécessiter l’intervention d’Ernest (pas très futé) qui tient la casse auto et du fermier Herbert (les rennes affamés ont besoin de foin). 
Et tous de s’agacer de ce dérangement intempestif alors qu’ils aimeraient bien profiter de cette veille de Noël.

Décidément, quelle idée d’aller travailler le 24 décembre !

On l’aura compris, aucun d’Elvis, Ernest, Herbert et de vieux grand-père, ne reconnaît le Père Noël malgré les nombreux et gros indices. Les trois premiers ne sont pas très fins, le dernier perd la tête et s’il lui semble bien reconnaître le bonhomme au manteau rouge, il oublie sans cesse de qui il s’agit.

Cet album un peu bavard est cependant très, très drôle. C’est sans aucun doute, comme nous l’annonce la 4e de couverture, « un conte de Noël décalé ». Décalé et adapté au plus grands qui s’amuseront de reconnaître le Père Noël alors que les personnages de l’album moulinent dans la neige et l’ignorance.

Ariane Tapinos (novembre 2017)

A lire sur notre blog, à propos d'un autre album de Noël de Ole Könnecke : Anton et le cadeau de Noël
Et du même auteur, sur un tout autre sujet : Anton et les rabat-joie

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29/11/2017 | Lien permanent

CE N'EST PAS MON CHAPEAU

Pépite !

humouralbum
de Jon KLASSEN
Traduit du canadie par Jacqueline Odin
Éd. Milan, janvier 2013 -12,90€
Un petit poisson a volé un chapeau. Alors qu'il nous raconte son méfait, le gros poisson à qui il a volé son chapeau se réveille en colère, avec l'intention de retrouver celui qui a osé lui volé son petit chapeau ! La course poursuite est alors lancée ...
Ce n'est pas mon chapeau possède une narration particulière. Les images et le textes sont en décalage. Les illustrations suivent le gros poisson à la recherche de son chapeau tandis que le texte nous fait part des commentaires fiers du petit poisson qui se croit à l'abri dans les hautes herbes ...

Jon Klassen est un auteur Canadien qui a reçu déjà de nombreux prix pour ses ouvrages, dont la médaille Caldecott pour Ce n'est pas mon chapeau. Illustrateur pour les studios Dreamworks, il a déjà publié huit livres en France.

Envie d’en lire plus ?
Retrouvez les autres livres de Jon Klassen à la librairie !


Comme auteur -illustrateur

Je veux mon chapeau, éditions Milan, 2013.

1,2,3 Cats.jpgComme illustrateur
Sam et Tom, l'incroyable aventure, éditions Milan, 2014.
1,2,3 on est tous des cats, éditions Little Urban, 2015.
Le Noir, éditions Milan 2015.
Extra Doux, éditions Milan 2014.
Les incorrigibles enfants de la famille Ashton, romans en deux volumes, éditions Flammarion, 2015.

Et sur notre blog :
Sam et Tom L'incroyable aventure & Les incorrigibles enfants de la famille Ashton.

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22/05/2016 | Lien permanent

La Carpe de tante Gobert | pièce de Jean-Pierre MILOVANOFF

9782742775781.jpgIllustrations de Lino | Éd. Actes sud-Papiers, coll. Heyoka jeunesse | juin 2008, 48 pp. | 9,50 €

De l’avis de son père, Philippon est « nul » et il a besoin d’une bonne leçon. Le paternel confie ce soin à sa sœur, la redoutée tante Gobert, qui vit seule au milieu d’une forêt, au bord d’un lac où ne nage pas même un poisson. Enfin si : il y a bien une carpe, énorme, que tante Gobert… tente de pêcher chaque jour depuis trente ans. Très vite, Philippon fait tout de travers…

Il pêche la carpe, au grand désespoir de sa tante, puis la remet à l’eau sur les conseils de celle-ci (la carpe, magique et douée de parole) alors que Miss Gobert – c’est une vieille fille – s’était résolue à en faire un festin… Chargé de retrouver le poisson, Philippon, aidé d’un lutin, d’un vrai pêcheur, d’un gendarme bavard et pointilleux et d’une jeune flûtiste hautaine, ramènera en fait un amoureux à sa tante et accessoirement… des tonnes de poisson.

Un rien loufoque, cette petite pièce se prêtera à merveille à une mise en scène avec de jeunes enfants. Pas de morale, mais de l’humour, un zeste d’absurdité (le gendarme !) et un personnage principal aussi maladroit qu’innocent, bref un peu de fantaisie à mettre dans les spectacles de fin d’année des écoles primaires…

Corinne Chiaradia (février 2009)

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18/02/2009 | Lien permanent

DAGFRID - Des brioches sur les oreilles

téléchargement.jpgroman
Agnès MATHIEU-DAUDÉ, illustrations d' Olivier TALLEC
coll. "mouche" L’ École des loisirs, 38 pages, janvier 2020- 6,50 €

Dur dur d’être une fille viking : on passe sa vie dans une maison en tourbe à porter des jupes super longues qui vous empêchent de courir correctement ou de partir à la découverte de l’Amérique, on ne mange que du poisson et on est obligée de s’enrouler ses tresses autour des oreilles façon brioches.
Dagfrid ne le supporte plus (enfin, surtout le poisson) et décide de partir à la recherche d’un nouveau monde où elle pourra laisser pendre ses tresses en toute liberté. Avec la complicité de son grand frère Oldaric elle se construit un bateau et part explorer le vaste océan .
Agnès Mathieu-Daudé dresse le portrait d’une héroïne rebelle qui n’a pas sa langue dans sa poche et n’hésite pas à bousculer l’ordre établi pour partir à la conquête de son idéal : un monde sans poisson. Ces premières aventures de Dagfrid - irrésistiblement croquées par Olivier Tallec- donnent très envie d'en savoir plus ce sur petit monde viking pas piqué des vers... Tellement que l'on ne peut pas s'empêcher d'espérer une suite !

 

Défi Viking !defiviking.PNG

Réalisez la plus belle coiffure viking ! Tresses roulées sur les oreilles, barbe tressée, couvre chef en simili peau de mouton …Tous les coups sont permis (y compris de VRAIES brioches sur les oreilles). Envoyez-nous une photo de vos plus belles œuvres capillaires,à l’adresse suivante : comptines@comptines.fr nous les publierons sur le blog. À vos peignes !

 

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26/03/2020 | Lien permanent

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