Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Page d'accueil

02/11/2014

DIABOLIQUE DENTISTE

diabolikdentiste.jpgroman
de David WALLIAMS illustré par Tony ROSS
Traduit de l'anglais par Valérie Le Plouhinec, éd, Albin Michel jeunesse, coll. « Witty », octobre 2014, 425 pages ; 12,50€

Alfie a douze ans et vit seul avec son père ancien mineur que sa santé a conduit à abandonner son travail.Suite à une expérience traumatisante avec une dent récalcitrante et un dentiste très très âgé, Alfie a déclaré la guerre à l’odontologie et n'a plus mis les pieds chez un dentiste. Depuis six ans, il mène une double vie, dissimulant billets de rappel de visites médicales, relances et autres signaux d'alarme destinés à son père. Mais voilà qu'arrive en ville une nouvelle praticienne que le principal du collège d'Alfie présente en grande pompe aux élèves : Melle Ratiche a une dentition parfaite, elle est vêtue de blanc de la tête aux pieds, se maquille tellement qu'il est impossible de lui donner un âge et insiste pour que ses petits patients l’appellent « maman ». Très vite, Alfie s'aperçoit que le dentifrice spécial du docteur Ratiche a tendance à faire fondre tout ce avec quoi il entre en contact, que les brosses à dents qu'elle distribue sont en fil de fer, et surtout que l'inquiétante dentiste a l'air bien décidée à faire de lui son patient, quitte à se passer de son autorisation.


Malheureusement pour Alfie, il va être difficile pour lui d'éviter une visite plus que nécessaire chez Melle Ratiche, car Winnie, sa nouvelle assistante sociale vraiment soucieuse de sa santé va tout faire pour sauver les quelques dents qui lui restent...

David Walliams signe ici un sixième roman désopilant qui fera frémir d'horreur tous les phobiques du dentiste. Au programme, une dentiste maléfique, une course poursuite épique, une enquête surprenante, un marchand de journaux loufoque (eh oui ! L’inénarrable Raj est toujours là !) un dénouement mélodramatique et… beaucoup de mots inventés !

Nathalie Ventax (novembre 2014)

Les commentaires sont fermés.